Maxime Guillon-Roi-Sans-Sac,

danseur

De tête en cape (2019)

 

Diplômé en Information et Communication, Maxime intègre le groupe de recherche chorégraphique de l’université de Tours en 2007. Il poursuit son enseignement en danse contemporaine au sein de la formation Extensions du Centre de Développement Chorégraphique National de Toulouse. Il se concentre, ensuite, sur ses premières recherches chorégraphiques lors du Programme de Recherche et de Composition Chorégraphique de l’abbaye de Royaumont.
En 2014, il participe au projet de reconstitution du sacre du printemps de Vaslav Nijinski et Igor Stravinsky Sacre #2 dirigé par Dominique Brun. Il collabore avec Margot Dorléans sur la pièce Vertébrés, et l’assiste pour ses projets suivants. Il rejoint ensuite l’équipe de Primitifs, de Michel Schweizer, qui interroge la place du vivant et son engagement face aux transformations qu’il traverse. 
Son partenariat avec Nedjma Merahi s’inscrit dans une exploration des notions de partition et d’interprétation avec les pièces Kiss&Cry, La paysagiste et la salade d’orties (La beauté du geste – théâtre de Brétigny) 
Depuis 2017, il travaille à destination du jeune public, notamment avec Bouture d’un sacre, projet de création et de transmission pour deux classes de primaire de Besançon, et De tête en cape pièce jeune public de Balkis Moutashar. 
En 2020, il se forme à la pratique en massage bien-être et obtient une licence du département danse de l’université Paris 8. 
Il s’engage depuis dans les projets : Étreinte(s) de Marion Muzac, une pièce chorégraphique réunissant danseurs professionnels, danseurs amateurs, qui place les liens et la relation au coeur de son propos, Les Noces, nouvelle production de Dominique Brun qui ravive et remonte la pièce historique de Bronislava Nijinska de 1923, Le petit B, pièce très jeune public de Marion Muzac et Dream d’Alessandro Sciarroni.